Les Croix (nouvelle version de 1964) Songtext
von Gilbert Bécaud
Les Croix (nouvelle version de 1964) Songtext
Mon Dieu, qu′il y en a des croix sur cette Terre
Croix de fer, croix de bois, humbles croix familières
Petites croix d'argent, pendues sur les poitrines
Vieilles croix des couvents, perdues parmi les ruines
Et moi, pauvre de moi, j′ai ma croix dans la tête
Immense croix de plomb, vaste comme l'amour
J'y accroche le vent, j′y retiens la tempête
J′y prolonge le soir, et j'y cache le jour
Et moi, pauvre de moi, j′ai ma croix dans la tête
Un mot y est gravé qui ressemble à "souffrir"
Mais ce mot familier que mes lèvres répètent
Est si lourd à porter que j'en pense mourir
Mon Dieu qu′il y en a sur les routes profondes
De silencieuses croix qui veillent sur le monde
Hautes croix du pardon tendues vers les potences
Croix de la dérision ou de la délivrance
Mais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête
Immense croix de plomb vaste comme l′amour
J'y accroche le vent, j'y retiens la tempête
J′y prolonge le soir et j′y cache le jour
Mais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête
Un mot y est gravé qui ressemble à "souffrir"
Mais ce mot familier que mes lèvres répètent
Est si lourd à porter que j′en pense mourir
Croix de fer, croix de bois, humbles croix familières
Petites croix d'argent, pendues sur les poitrines
Vieilles croix des couvents, perdues parmi les ruines
Et moi, pauvre de moi, j′ai ma croix dans la tête
Immense croix de plomb, vaste comme l'amour
J'y accroche le vent, j′y retiens la tempête
J′y prolonge le soir, et j'y cache le jour
Et moi, pauvre de moi, j′ai ma croix dans la tête
Un mot y est gravé qui ressemble à "souffrir"
Mais ce mot familier que mes lèvres répètent
Est si lourd à porter que j'en pense mourir
Mon Dieu qu′il y en a sur les routes profondes
De silencieuses croix qui veillent sur le monde
Hautes croix du pardon tendues vers les potences
Croix de la dérision ou de la délivrance
Mais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête
Immense croix de plomb vaste comme l′amour
J'y accroche le vent, j'y retiens la tempête
J′y prolonge le soir et j′y cache le jour
Mais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête
Un mot y est gravé qui ressemble à "souffrir"
Mais ce mot familier que mes lèvres répètent
Est si lourd à porter que j′en pense mourir
Writer(s): Gilbert Francois Leopold Becaud, Louis Jean Mathieu Amade Lyrics powered by www.musixmatch.com