Nuits blanches Songtext
von Hubert-Félix Thiéfaine
Nuits blanches Songtext
Parfois dans les lueurs des nuits blanches et hostiles
Lorsque j′entends gémir les moisissures du temps
Et qu'à travers mes tristes pensées se faufile
Le jeu des fantaisies de mes féeries d′enfant
Je trace sur le vélin gris de mes insomnies
Des esquisses enflammées où des figures folles
Défilent et font des feux au fond de l'infini
Et de joyeux bûchers pour brûler nos idoles
Au matin la lumière joue avec les vitraux
Où j'ai peint mes délires aux accents ingénus
Avec un clair-obscur sous mes coups de pinceau
Et des visages austères qui ne reviendront plus
Alors dans l′angle mort de mes saisons futures
Je te laisse en partant mon sourire le plus doux
Mes larmes les plus tendres et mes tendres murmures
Juste le temps d′apprendre à redevenir fou
Dans la zone onirique où je gare ma planète
Un vieux cadran fossile mesure le temps perdu
Et je vois des mutants pendus à la sonnette
De ce que je croyais un domicile connu
Alors sous mes tatouages aux slogans indigo
Qui me donnent des allures de vieux boxeur mafieux
De vieux Mickey Cohen remis de ses K.O
Je t'envoie mes sonnets d′écolier besogneux
Au matin la lumière joue avec les vitraux
Où j'ai peint mes délires aux accents ingénus
Avec un clair-obscur sous mes coups de pinceau
Et des visages austères qui ne reviendront plus
Alors dans l′angle mort de mes saison futures
Je te laisse en partant mon sourire le plus doux
Mes larmes les plus tendres et mes tendres murmures
Juste le temps d'apprendre à redevenir fou
À redevenir fou
Lorsque j′entends gémir les moisissures du temps
Et qu'à travers mes tristes pensées se faufile
Le jeu des fantaisies de mes féeries d′enfant
Je trace sur le vélin gris de mes insomnies
Des esquisses enflammées où des figures folles
Défilent et font des feux au fond de l'infini
Et de joyeux bûchers pour brûler nos idoles
Au matin la lumière joue avec les vitraux
Où j'ai peint mes délires aux accents ingénus
Avec un clair-obscur sous mes coups de pinceau
Et des visages austères qui ne reviendront plus
Alors dans l′angle mort de mes saisons futures
Je te laisse en partant mon sourire le plus doux
Mes larmes les plus tendres et mes tendres murmures
Juste le temps d′apprendre à redevenir fou
Dans la zone onirique où je gare ma planète
Un vieux cadran fossile mesure le temps perdu
Et je vois des mutants pendus à la sonnette
De ce que je croyais un domicile connu
Alors sous mes tatouages aux slogans indigo
Qui me donnent des allures de vieux boxeur mafieux
De vieux Mickey Cohen remis de ses K.O
Je t'envoie mes sonnets d′écolier besogneux
Au matin la lumière joue avec les vitraux
Où j'ai peint mes délires aux accents ingénus
Avec un clair-obscur sous mes coups de pinceau
Et des visages austères qui ne reviendront plus
Alors dans l′angle mort de mes saison futures
Je te laisse en partant mon sourire le plus doux
Mes larmes les plus tendres et mes tendres murmures
Juste le temps d'apprendre à redevenir fou
À redevenir fou
Writer(s): Hubert Felix Thiefaine, Christopher Board, Lucas Thiefaine, Frederic Gastard Lyrics powered by www.musixmatch.com