Sodden Songtext
von Elegists
Sodden Songtext
Enfin nos armées chargent
L′attente usante s'éteint
Allume le mont sauvage
Nos armées chargent enfin
Putain de peur
Mon courage vomi, hoquette et pleure
J′essuie ma bouche, accroche mon cœur
Et serre mes sœurs
Prenez mon sang
Mon savoir fier
Pour mon rang
Indigne
Ce jour nous écroulons nos tours
Rejoignons la piétaille
Nous cessons nos refrains de cour
Méritants la bataille
Yennefer
Tes yeux, ce sang, corps en horreur
Corail, reviens à moi
Ton silence brise ma foi
La terre tremble et ses entrailles
Lui glissent du ventre gorgé de sang
Ivre de cris, d'os et de maille
Déchirée par nos sorts hurlants
Les membres tombent, et les corps hurlent
Les yeux s'arrachent, les gorges brûlent
La mort nous traque et fauche féroce
L′aigle impérial
Noircit les pentes
D′un vent létal
La mort s'abat, la pluie s′ébat
Pour tous comme pour moi
Témeriens, Escadrons Noirs
Dépècent l'espoir
Déstructurés
Abandonnés
Ils approchent
Nos soldats fuient, se battent ou crèvent
Plus d′unités, de rangs serrés
Le mont Sodden est submergé
D'hommes boueux, comme dans un rêve
Qui ne fait que se prolonger
Sur cette montagne hallucinée
Le tonnerre gronde sous nos sorts
Le feu déchire les cieux de morts
Et derrière moi le Soleil luit
Les flèches pleuvent, avides et rudes
Les épées volent, levées à tord
Et derrière moi le Soleil luit
Mes lèvres sèches se taisent, prudes
Et derrière moi le Soleil fuit
Connasse, fuyarde
Le feu t′as léché le torse ardent
Plus tendrement qu'un amant
Que valent tes mots
Sous les flots vermeils
Que valent les morts
Pour tes merveilles?
Je reviendrai
Je me battrai
Au grand jamais je ne m'écraserai
Au grand jamais
Pourtant
Mon nom sur
La tombe
La mort
Me suit
Comme
Mon ombre
Le vent
Murmure
"Fuis Merigold, tu es la Quatorzième"
L′attente usante s'éteint
Allume le mont sauvage
Nos armées chargent enfin
Putain de peur
Mon courage vomi, hoquette et pleure
J′essuie ma bouche, accroche mon cœur
Et serre mes sœurs
Prenez mon sang
Mon savoir fier
Pour mon rang
Indigne
Ce jour nous écroulons nos tours
Rejoignons la piétaille
Nous cessons nos refrains de cour
Méritants la bataille
Yennefer
Tes yeux, ce sang, corps en horreur
Corail, reviens à moi
Ton silence brise ma foi
La terre tremble et ses entrailles
Lui glissent du ventre gorgé de sang
Ivre de cris, d'os et de maille
Déchirée par nos sorts hurlants
Les membres tombent, et les corps hurlent
Les yeux s'arrachent, les gorges brûlent
La mort nous traque et fauche féroce
L′aigle impérial
Noircit les pentes
D′un vent létal
La mort s'abat, la pluie s′ébat
Pour tous comme pour moi
Témeriens, Escadrons Noirs
Dépècent l'espoir
Déstructurés
Abandonnés
Ils approchent
Nos soldats fuient, se battent ou crèvent
Plus d′unités, de rangs serrés
Le mont Sodden est submergé
D'hommes boueux, comme dans un rêve
Qui ne fait que se prolonger
Sur cette montagne hallucinée
Le tonnerre gronde sous nos sorts
Le feu déchire les cieux de morts
Et derrière moi le Soleil luit
Les flèches pleuvent, avides et rudes
Les épées volent, levées à tord
Et derrière moi le Soleil luit
Mes lèvres sèches se taisent, prudes
Et derrière moi le Soleil fuit
Connasse, fuyarde
Le feu t′as léché le torse ardent
Plus tendrement qu'un amant
Que valent tes mots
Sous les flots vermeils
Que valent les morts
Pour tes merveilles?
Je reviendrai
Je me battrai
Au grand jamais je ne m'écraserai
Au grand jamais
Pourtant
Mon nom sur
La tombe
La mort
Me suit
Comme
Mon ombre
Le vent
Murmure
"Fuis Merigold, tu es la Quatorzième"
Writer(s): Alexis Delapierre, Erwan Laly, Jérémie Bodin, Léo Bourhis, Thomas Bodin Lyrics powered by www.musixmatch.com

